« Ô Lord, ô Lord ! » Judith vient de découvrir la chambre de torture du château de Barbe-Bleue. Pour illustrer sa peur, Bartók utilise le timbre strident des clarinettes et des violons perchés dans l’aigu pendant que le xylophone joue avec les nerfs de l’auditeur.
Le suspense monte encore avec les sonneries stridentes des vents qui hurlent comme des alarmes. Mais Judith est déterminée à ouvrir les sept portes du château et à découvrir l’âme de son terrible mari dont elle est amoureuse.
Quand Bartók rime avec Hitchcock !